Les outils et les données SIG se sont démocratisés en archéologie depuis une dizaine d’années, notamment via l’utilisation de logiciels libres tels que QGIS.
Les données issues de la recherche ou des opérations de terrain, spatialisées ou non, peuvent être structurées en bases de données à composante spatiale et intégrées dans les logiciels SIG.
Cet atelier permettra d’explorer la construction et l’utilisation d’une base de données relationnelle, attributaire et spatiale en utilisant le système de base de données libre SQLite/SpatiaLite et le logiciel QGIS.
La création de la base, l’import des données, l’implémentation dans QGIS et la réalisation de requêtes seront détaillés durant ces deux journées d’atelier.